Tuesday, September 28, 2010

Touba Dialaw

Revenant de Touba Dialaw, un bel hôtel à cote de l’océan à deux heures de Dakar, j’appuyais ma tête contre le tissu déchiré de la porte branlante d’un vieux jaune taxi. Pendant notre jeune chauffeur bayfall continuait lentement sa route, le soleil d’en fin d’après-midi continuait de chauffer ma peau, et je me sentais plus comme une touriste paresseuse que comme une étudiante de la politique et l’économie africain et une voyageuse prête de m’engouffrer dans la culture sénégalaise, mais pour des raisons valables. Bien que je sache que l’hôtel splendide à Touba Dialaw, décoré avec ses murs bardés de mosaïques et ses petites boutiques environnantes vendant des bibelots africains, j`avais l’intention de me rendre riche avec une expérience culturelle d’Afrique, en fait j’étais écœurée par le paradis fabriqué parfaitement. Le joli hôtel était presque désert à part des groupes de femmes africaines qui utilisaient des phrases variés en anglais et en Français pour pousser leurs paniers de marchandises aux quelques étrangers, qui ont pris des images avec leurs appareils photos numériques japonaises, qui portaient des dollars américaines, qui restaient confortablement sur leurs balcons privées comme ils restaient sur le grand cheval de Napoléon Bonaparte.

Bien que j`ai passé un moment agréable sur les jolies plages sénégalaise, je savais que ce qui pourrait vraiment raconter l’histoire du Sénégal n’existait pas entre les murs de l’hôtel splendide à Touba Dialaw, mails il était dehors la fenêtre de ce taxi bariolé et branlant. Le long de la roue j’ai vu beaucoup de boutiques qui vendaient la même sélection de seaux plastiques, de balais, et de poignées de portes. J’ai vu des hommes qui étaient en train de verser des petits verres pour faire la mousse blanche de
l’ataya. J’ai vu l’embouteillage de voitures qui soufflaient des nuages chaud à mon nez, Renault, Citroën, Peugeot, et aussi des voitures nouveaux et vieux qui venaient de l` Iran, du Japon, de la Chine. Il y avait ce qui pourrait raconter l’histoire moderne de l’Afrique, des chefs d’états animés qui ont fait des décisions basés sur la logique et les théories académiques ou peut-être sur l’orgueil et des intérêts personnelles, de la somme des accords commerciaux et le conjoncture du capitalisme mondiale, de l’héritage coloniale et grands événements passés. Tout parti nécessaire ont filé très vite devant mes yeux comme ils étaient attachés au bout de ficelle.

Ecoutant à une chanson vivant sur la radio dans la chaise devant de mes collegue silencieux qui s’assoupissaient dans la chaleur, je me demandais comment les taxis iraniens, les bus chinois, et les voitures qui manquaient complètements une marque y sont parvenus. Je voulais découvrir les composantes qui ont emmené cet étalage de produits et articles au Sénégal, les composantes qui ont défini la scène commerciale et économique que les Sénégalais connaissent chaque jour. Evidement, j’ai supposé que le grand nombre de automobiles français, le Renault, le Citroën, le Peugeot, ont été pourvus par des rapports colonial et la position de la France comme le partenaire le plus influent pour le Sénégal. Ce m’a rappelé de la poigne durable française dans les besoins commerciaux et les affaires internationaux du Sénégal aussi bien que les implications de tel héritage de la culture et l’identité sénégalaise.

Plus tard, j’ai trouvé que des relations amicales contre le Sénégal et l’Iran ont permis à le présence formidable de l’entreprise international Iran Khodro Industrial Group et ainsi un grand convoi des taxis nouveaux. Mais c’est quoi que ca signifier pour le rôle du Sénégal dans non-prolifération et les questions pertinents de terrorisme ? J’ai trouvé que la Chine et ses investisseurs privés ont été attirés par le besoin du Sénégal pour pièces détachées et aussi étaient les pourvoyeurs de centaines de buses qui passaient devant cette rue toutes les heures. Mais c’est quoi que ca signifier pour la question de pouvoir grandissante chinoise dans l’économie mondiale et les politiques internationaux ?

Revenant de Touba Dialaw, j’ai été frappé par une réalisation peut-être nulle : que les décisions politiques, les chiffres, les théories que on discute dans la salle de class, dans les nouvelles, sur les roues, dans les tas de livres à la bibliothèque, sont très réal dans la vie quotidienne qu’il crée pour une société. Le sous-développement économique se manifeste par la sélection non variée de marchandises, par une scène des mêmes seaux plastiques. Il y a les destinations qui sont prêt de raconter une expérience culturelle africaine de touristes pour un prix, mais il y a aussi une histoire moderne qui raconte l’héritage mondiale, la conjecture d’un état, et les composantes de développement et qui est disponible seulement aux personnes qui osent chercher sur les roues quotidienne.